Retour accueil

Vous êtes actuellement : Actualité 


fontsizeup fontsizedown impression envoyer l'article par mail title= suivre la vie du site syndiquer le forum

Mobilisation du 27 septembre 2011 : le point dans les académies

mercredi 28 septembre 2011

« De mémoire, on n’a jamais connu une mobilisation aussi forte au sein du réseau de l’enseignement privé », indique à AEF Bernard Le Page, responsable de la CFDT 35, concernant la mobilisation contre les suppressions de postes à Rennes mardi 27 septembre 2011. Entre 4 800 personnes selon la police et 15 000 manifestants selon les syndicats, ont défilé ce matin à partir de la place de la mairie. Les organisations syndicales Ferc-CGT, FSU, Sgen-CFDT et Unsa-Éducation appelaient « les personnels de l’Éducation nationale et de l’enseignement agricole public à se mettre en grève le 27 septembre pour protester contre les suppressions de postes » (AEF n°151344). Cinq syndicats du privé appelaient également à l’action (AEF n°154738). Selon la FSU, 120 000 personnes ont manifesté dans 72 départements.

En Ille-et-Vilaine, on estime que le taux d’enseignants grévistes tourne autour de 40 % ou 50 % » pour l’enseignement privé catholique, indique Bernard Le Page. « Ce taux est certainement supérieur dans le Finistère et dans les Côtes-d’Armor, car les risques de fermeture d’écoles rurales en Centre-Bretagne sont importants ». Concernant l’enseignement public, Annette Leport, de l’Unsa Bretagne, déclare : « l’ensemble de la communauté éducative s’est mobilisée : enseignants, parents, chefs d’établissements, etc. ». « Il faut dire que le gouvernement, avec ses projets, atteint le noyau dur. On n’est plus dans de l’écrémage ? », estime la responsable syndicale.

Entre 2 000 personnes (selon la police), et 6 000 personnes (selon le SE-Unsa), ont manifesté ce matin à Nantes devant la préfecture. « Le cortège était composé d’enseignants du premier et du second degré, de personnels administratifs, d’agents des inspections académiques et du rectorat, mais aussi de CPE et d’assistants d’éducation », observe Jonathan Kermorvant, secrétaire départemental du Se-Unsa de Loire-Atlantique. « Des enseignants du privé et quelques personnels de l’université étaient également présents ». D’après une enquête menée par la DDEC (direction diocésaine de l’enseignement catholique) de Loire-Atlantique, environ 30 % des enseignants du second degré, et plus de 50 % des enseignants du premier degré, seraient en grève ce jour.

Voici le détail par ordre alphabétique dans les autres académies :

AIX-MARSEILLE. A Marseille, 5 500 personnes selon les syndicats, 1 600 selon la police, ont manifesté mardi 27 septembre. Le Snes académique annonce un taux de gréviste dans les établissements publics de 50 % dans les lycées et 60 % dans les collèges, tandis que le Snuipp des Bouches-du-Rhône annonce 70 % de grévistes dans le premier degré et 360 écoles fermées. Selon le rectorat, on compte 33,6 % d’enseignants grévistes dans le premier degré, 26,6 % dans les collèges, 18,5 % dans les lycées d’enseignement général et technologique, et 15,6 % dans les lycées professionnels.

AMIENS. En Picardie, le rectorat d’Amiens a compté 32,9 % d’enseignants grévistes dans les collèges, 18 % dans les lycées professionnels, 12,6 % dans les lycées et 26,1 % dans le premier degré. Le Snes-FSU d’Amiens fait état pour sa part de 30 à 35 % de grévistes dans le second degré pour l’académie.

Une manifestation a rassemblé 600 personnes à Amiens (Somme) selon la préfecture de la Somme. Le Snes-FSU a compté de son côté 500 à 750 manifestants à Beauvais (Oise).

BESANÇON. 1 400 personnes selon les syndicats et 1 200 selon la police manifestent à Besançon (Doubs). Dans le premier degré, la moitié des enseignants sont en grève, selon le Snuipp-FSU. Dans le second degré, « entre 40 et 50 % » des enseignants sont en grève, selon le Snes-FSU. Le rectorat indique de son côté un taux d’enseignants grévistes de 38,9 % dans les lycées professionnels, 31,4 % dans le premier degré, 23 % dans les collèges et 19,6 % dans les lycées généraux et technologiques.

BORDEAUX. Environ 3 000 personnes selon la FSU, 2 800 selon la préfecture ont défilé dans les rues de Bordeaux ce matin. Dans la région, d’autres manifestations ont également rassemblé entre 1 150 et 2 000 personnes à Pau, entre 650 et un millier à Agen (Lot-et-Garonne) et entre 700 et 800 à Mont-de-Marsan dans les Landes. Le rectorat fait état de 38,5 % de personnels enseignants absents dans le primaire, 26,3 % en collèges, 13,2 % en LEGT et 25 % en lycées professionnels, quand le Snes-FSU parle, lui, de « 50 % de grévistes dans les collèges et lycées professionnels et de 35 % en LEGT ». Fabienne Senteix, secrétaire départementale du syndical en Gironde, la plus forte participation au mouvement en collège peut s’expliquer par « la baisse des crédits Lolf qui privent certains établissements du budget nécessaire pour acheter les manuels scolaires ».

CAEN. À Caen (Calvados), le cortège a réuni 3 000 à 3 500 personnes, dont environ 200 enseignants du privé selon le Snes-FSU, 2 400 personnes selon les forces de l’ordre. « Les forces de l’ordre ont été elles-mêmes surprises par l’ampleur de la mobilisation », note un représentant du Snes, qui souligne qu’elles « ont eu quelques difficultés à assurer le détournement de la circulation sur toute la longueur du cortège. » Le syndicat enseignant note également : « la présence de collègues que nous n’avions jamais vu dans les précédentes manifestations et qui cette fois ont souhaité se mobiliser et prendre part au mouvement. » « Nous avions au moins 1 000 manifestants de plus que pour la dernière manifestation du 10 février 2011 », termine le représentant du Snes. Le syndicat affiche également un taux de gréviste de 35 % dans le second degré et « un chiffre supérieur à 55 % dans le premier degré ».

CORSE. Le rectorat de Corse recense un taux de grévistes de 47,6 % dans le premier degré, 27,1 % dans les collèges, 7,9 % dans les lycées d’enseignement général et technologique et 21,4 % dans les lycées professionnels. Selon le Snuipp de Haute-Corse, 50 à 55 % des professeurs du premier degré étaient en grève mardi 27 septembre. Selon les syndicats, « à peine » plus de 150 personnes ont manifesté à Ajaccio devant le rectorat. Ils étaient « à peu près » 95 selon la police.

DIJON. Environ 1 000 manifestants sont rassemblés à Dijon, indique à AEF le Snes-FSU. La police chiffre de son côté à 700 le nombre des manifestants. Selon le Snes-FSU, environ 45 % des enseignants sont en grève dans le second degré. Le rectorat indique de son côté un taux d’enseignants grévistes à 30,5 % dans le premier degré, à 16,8 % dans les collèges, à 19,8 % dans les lycées professionnels et à 15,6 % dans les lycées.

GRENOBLE. Les grévistes représentent 30,23 % des enseignants du premier degré et 26,52 % du second degré dans l’académie, indique le rectorat. Selon le Snes, les manifestants étaient près de 3 000 à Grenoble, la préfecture donne le chiffre de 1 500 personnes dans le cortège de la gare au rectorat.

LILLE. Selon le rectorat, le mouvement de grève a mobilisé 34,9 % des enseignants dans le premier degré, 31,3 % dans les collèges, 25,1 % dans les lycées d’enseignement général et technologique et 17,3 % dans les lycées professionnels. Le Snes-FSU de Lille estime de son côté à 55 % le taux de grévistes dans le second degré. « Il y a eu des pointes dans les lycées à 75 % en raison du mécontentement provoqué par une circulaire académique sur le temps de travail des enseignants (AEF n°155580) », indique à AEF Karine Boulonne, secrétaire académique du Snes.

À Lille (Nord)[/orange fonce], une manifestation a rassemblé cet après-midi 4 000 personnes selon la préfecture de Lille et 8 000 personnes selon les syndicats. Des professeurs de philosophie de l’académie, réunis en coordination, ont défilé derrière une banderole affirmant leur soutien à leur collègue Serge Pralat, qui a fait l’objet d’un déplacement d’office après la tenue d’une commission disciplinaire contestée par les syndicats (AEF n°155109). « Ce que nous redoutions arrive : M. Pralat, en raison des difficultés matérielles et morales qu’engendrent sa mutation forcée à 80 kilomètres de chez lui, a été contraint de se mettre en arrêt maladie », écrivent-ils dans un communiqué.

Par ailleurs, dans le Pas-de-Calais, l’Unsa-Éducation dénonce « la tentative de récupération par les écoles privées du mouvement » de grève. « Non, nous ne menons pas le même combat que les écoles privées », écrit dans un communiqué Dominique Copin, secrétaire départementale, affirmant son attachement à une école « publique, laïque et gratuite ».

LIMOGES. À Limoges, 1 300 personnels éducatifs selon la préfecture et 3 000 de source syndicale, ont défilé dans les rues de la ville ce matin 27 septembre 2011. Patrice Arnoux, co-secrétaire académique du Snes-FSU note la « présence remarquée » des enseignants du privé (quelques dizaines selon lui), un secteur pourtant minoritaire dans la région. D’autres rassemblements ont également eu lieu à Tulle en Corrèze (entre 600 et 700 selon les sources rectorale et syndicale) et à Guéret en Creuse (entre 280 et 500 personnes).

Dans l’académie, la grève a été « très suivie », estime la FSU qui avance que plus d’un enseignant sur deux absent dans le second degré et autant dans le primaire (70 % en Haute-Vienne). De son côté, le rectorat annonce plus de 40 % d’enseignants absents dans les écoles (46,5 % en Haute-Vienne), 34 % dans les collèges, 33 % dans les LEGT et 24,5 % dans les lycées professionnels, indiquent les services académiques. Ils indiquent également que le mouvement a également touché les établissements privés avec 34 % de grévistes dans le primaire et 24 % dans le secondaire.

LYON. Le rectorat annonce pour l’ensemble de l’académie les chiffres de 20,43 % de grévistes dans le premier degré, ainsi que 19,81 % dans le second degré. Pour sa part le Snes décompte 55 % de grévistes dans les collèges et lycées de l’académie, dont certains « établissements quasiment fermés avec un nombre de grévistes proche de 100 % ». Le cortège qui a défilé de la Bourse du travail au rectorat a rassemblé 4 500 personnes à Lyon selon les syndicats, 3 000 d’après les forces de police. À Saint-Etienne les manifestants étaient 1 000 selon la police et 3 000 selon les syndicats.

MONTPELLIER. La manifestation rassemble, à Montpellier, « entre 2 500 et 3 000 personnes » selon un « comptage strict » du Snes-FSU Languedoc-Roussillon et « 1 400 personnes » selon la préfecture. Le rectorat de Montpellier recense 32 % de grévistes dans le premier degré (38,8 % le 23 septembre 2010) , 27 % dans les collèges (21,3 % en 2010), 18,6 % dans les lycées (19,3 % en 2010) et 18,2 % dans les lycées professionnels (19,6 % en 2010). Le Snuipp-FSU de l’Hérault évoque deux grévistes sur trois dans le premier degré et une école fermée sur quatre. Dans le second degré, le Snes-FSU du Languedoc-Roussillon annonce 54,5 % de grévistes, d’après une estimation du syndicat portant sur un échantillon représentatif de 30 établissements de l’académie. La mobilisation est la plus forte dans les collèges avec 56,8 % d’enseignants en grève contre 51,6 % dans les lycées.

NANCY- METZ. À Nancy, la mobilisation a réuni entre 1 400 et 2 000 personnes selon les syndicats (Sgen-CFDT, SE-Unsa, FSU), 1 100 personnes selon la police. « En quarante ans, je n’avais jamais vu une telle convergence d’appels entre le public et le privé, à tous les niveaux : local, départemental, régional », rapporte Claude Frédéric, co-secrétaire académique du Snes-FSU. Une petite centaine de personnes représentaient les établissements du privé touchés par les réductions de moyens. À Metz, le cortège parti de la gare a rassemblé de 500 à 1 100 personnes selon les syndicats (entre 500 et 750 pour le FNPEFP-CGT, 1 100 pour la FSU), pour 650 personnes selon la police. Ailleurs, les forces de l’ordre ont recensé deux cortèges, à Bar-le-Duc (250 manifestants) et Epinal (480 personnes). Le rectorat fait état de 23,5 % de personnels enseignants grévistes, ce chiffre variant de 26,8 % dans le premier degré, à 25,1 % en collèges, 17,9 % dans les lycées professionnels, et 14,8 % dans les LEGT. Pour le seul département de Meurthe-et-Moselle, le SE-Unsa évoque 30 % de professeurs des écoles effectivement en grève.

Par ailleurs, la FSU Lorraine « s’oppose vivement au projet de fermeture du site IUFM de Metz-Paixhans », indique-t-elle à cette occasion, dénonçant globalement des « pressions financières exercées par l’université Henri-Poincaré sur sa composante IUFM ».

NICE. Les organisations syndicales ont dénombré 2 500 manifestants dans les rues de Nice, « dont une cinquantaine d’enseignants du privé », et autant à Toulon. Plus d’un enseignant sur deux était en grève selon le Snes académique, « avec dans certains collèges des pics à 70 % et une très forte mobilisation des personnels de vie scolaire ». Le Snes fait aussi état d’une participation « très forte » des Copsy « avec des pics à 90 % dans certains CIO ». Dans le premier degré dans les Alpes-Maritimes, 50 % des enseignants sont grévistes, selon le Snuipp départemental.

Le rectorat de l’académie de Nice annonce 32,2 % d’enseignants en grève dans le premier degré, 25,3 % dans les collèges, 16,2 % dans les lycées d’enseignement général et technologique et 18 % dans les lycées professionnels.

POITIERS. 2 500 personnels de l’éducation nationale, dont quelques dizaines d’enseignants du privé, ont manifesté dans les rues de Poitiers ce matin apprend AEF de source syndicale. « Un chiffre loin d’être ridicule » estime Magali Espinasse, co-secrétaire académique du Snes-FSU, qui note également la présence d’un « nombre important d’AVS en attente d’affectations » dans le défilé ainsi que des élèves du lycée Louis-Armand de Poitiers et Edouard-Brlany de Châtellerault, venus « réclamer des locaux et du matériel ainsi que des moyens horaires » pour la nouvelle filière STI2D.

Le rectorat annonce 26 % de personnels grévistes dans l’enseignement public, tous établissements confondus. Ils étaient 30,6 % dans les primaire et 27,6 % dans le second degré (29,9 % en collège, 25,9 % en lycées professionnels et 26,4 % en LEGT). Les services académiques avancent aussi le chiffre de 19,37 % de grévistes dans le privé. Des chiffres contestés par le Snes-FSU qui fait état de 60 % de grévistes dans les écoles publiques et de 50 % dans les collèges et lycées publics.

REIMS. En Champagne-Ardenne, la mobilisation a réuni à Reims 300 personnes d’après la police, 800 selon le SE-Unsa. « C’était une manifestation relativement bien réussie, pour protester contre les suppressions de postes, la poursuite de la dégradation des conditions de travail et la baisse de pouvoir d’achat », pointe Eric Hébrard, secrétaire départemental SE-Unsa de la Marne et secrétaire régional de l’Unsa, signalant une participation notable des parents d’élèves. Concernant le reste de l’académie, les forces de police font état d’un cortège de 300 personnes à Charleville-Mézières (300 à 500 personnes, selon la CGT Educ’action) et de 400 manifestants à Troyes. « Une délégation intersyndicale a été reçue ce matin par le directeur de cabinet et la secrétaire générale de l’académie », indique le rectorat. D’après le « relevé » communiqué en milieu de matinée, 18,8 % des enseignants du 1er degré de l’académie étaient en grève ce matin, 27,7 % des enseignants de collège, 15,5 % des enseignants de lycée professionnels, et 14,3 % de ceux de LEGT.

ROUEN. A Rouen (Seine-Maritime), la manifestation a réuni 2 300 personnes selon les forces de l’ordre, 3 500 à 4 000 manifestants selon le Snes-FSU. Le cortège réunissait à la fois des enseignants des premier et second degré, des enseignants du privé, des parents d’élèves de la FCPE et quelques lycéens rouennais, selon les syndicats. Le taux de gréviste moyen estimé par le Snes est de 45 % pour l’ensemble de l’académie. « Nous disposons d’un relevé précis pour une quarantaine d’établissement qui nous donne une tendance fiable et précise », précise Florian Lascroux secrétaire académique du Snes. Les taux de grévistes transmis par les services du rectorat sont pour l’enseignement public de 31 % pour les établissements du premier degré et les collèges et de 23 % pour les lycées public. Pour l’enseignement privé, le taux de gréviste confirmé par le rectorat est de 11 % pour le second degré et de 9 % pour les établissements du premier degré dans le département de la Seine-Maritime et de 3 % pour le département de l’Eure.

STRASBOURG. Le cortège parti en fin de matinée de la place Kléber à Strasbourg a compté 1 300 personnes selon les forces de police, de 2 000 à 2 500 personnes, de sources syndicales. « Ce qui était frappant, c’était la présence assez nombreuse de jeunes collègues enseignants de collège, de 25-35 ans », souligne Philippe Lochu, secrétaire académique de la FSU. Dans le département du Haut-Rhin, le Snuipp-FSU évoque « un rassemblement d’un millier de personnes ce matin à Mulhouse, dont au moins 10 % représentant l’enseignement privé », 600 personnes selon la préfecture du Haut-Rhin. Le Snuipp parle « de dizaines d’écoles fermées, avec notamment l’ensemble des classes de la petite ville d’Altkirch fermées, soit 40 enseignants en grève ». Selon le rectorat, le taux de participation des enseignants du 1er degré à ce mouvement s’est élevé à 27,4 %, pour 15,6 % chez les enseignants du 2nd degré (soit 26 % en collège, 11,5 % en lycées professionnels et 11,8 % en LEGT). Le Snuipp-FSU du Haut-Rhin estime plutôt à 45 % la part de grévistes ce jour dans le 1er degré.

TOULOUSE. Plus de 5 500 manifestants pour les syndicats, 3 200 pour la préfecture, ont défilé dans les rues de Toulouse. La mairie de Toulouse déclare que 151 écoles publiques sur les 200 de la ville ont plus de 25 % d’enseignants grévistes. Sur les 67 maternelles, 35 affichent 100 % de grévistes. Le Snuipp-FSU de la Haute-Garonne comptabilise 75 % de grévistes dans le premier degré, « un chiffre historique » selon le syndicat , et « entre 55 et 60 % » dans le secondaire. De son côté, le rectorat de Toulouse annonce un taux de grévistes de 44,7 % dans les écoles de l’académie et de 27,9 % dans le second degré (dont 35,9 % dans les collèges, 28,5 % dans les lycées professionnels et 19,3 % dans les lycées d’enseignement général et technologique). Lors de la grève du 23 septembre 2010, le rectorat de Toulouse avait comptabilisé 43,6 % de grévistes dans le 1er degré et 27,6 % dans le 2nd degré.

Dans le privé, la direction diocésaine de l’enseignement catholique de Haute-Garonne annonce 10 % de grévistes dans le premier degré et 16 % dans le second degré.

SPIP | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0 |