En effet c’est 4800 emplois d’enseignants dans le second degré, c’est 16000 suppressions d’emplois dans l’Education, c’est la baisse de 5 à10% des crédits pédagogiques et de 7% ceux de la formation continue.
La dotation de l’Académie de la Guyane si elle reste positive est loin de couvrir les besoins constatés. La Guyane n’arrête pas de « courir après » un énorme retard chronique de moyens humains.
Seule pourtant une politique volontariste serait en mesure d’endiguer la dégradation de la situation.
Il faut couvrir l’augmentation importante des effectifs mais aussi mettre un terme à la déscolarisation désormais chronique et à la difficulté scolaire qui se traduit depuis 5ans à une diminution inquiétante du taux de réussite aux différents baccalauréats.
Ignorer ces constats c’est condamner sans recours l’Education et la formation de toute la jeunesse d’un pays.
Dans le cadre d’un mouvement national de protestation contre la politique éducative du gouvernement le SNES et la FSU Guyane vous invite à la conférence de presse qu’ils organisent le samedi 22 janvier à 10h au local du SNES à Mont lucas.
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