L’ampleur des mobilisations du 29 janvier, 19 mars, 1er mai ont permis d’obtenir des débuts de résultats. Ceux-ci sont très insuffisants, au regard des revendications exprimées le 5 janvier 2009 et, alors que la crise continue de s’aggraver, patronat et gouvernement doivent engager négociations et concertation sur les sujets prioritaires les plus urgents.